Les Griffes d'Astrellie, tome 1 : Le Pacte -

Axelle Meursange (Francophone) – Auto-édition – 2023
Voici un récit construit comme un dialogue entre « Louve » (gras) et « Lilas » (italique) ; (Ce qui fait beaucoup de bien !! L’inverse d’un Taiseux, en somme !! Mais sans pour autant verser dans l’extrême inverse…).
Dommage que la petite carte soit un légèrement « rétrécie » dans le eBook car c’est pas rien quand même de dessiner une map…
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« « Tue-le, ma Louve ! »
Mon Maître lâcha la laisse. Griffes d’acier aux poings, je bondis sur l’homme tremblant et les lui plantai dans la poitrine. »
Excellente accroche. L’ouverture en dialogue court et exclamatif, c’est le mieux croyez en mon immense sagesse !! ( lol !! )… Cela dit je me pose quelques questions ? Même si j’ai bien compris que Louve était une arme soumise, je ne suis pas sûr d’avoir compris pour les griffes d’acier. Les seules choses qui me viennent sont Wolverine et sa compère X23 … NB mais qui est cette victime pourquoi ne pas développer un peu à son sujet ? PS ; il s’agit en fait d’armes amovibles…
On sent que « Le maître » apprécie beaucoup « sa Louve » même s’il se sert d’elle, il la complimente et l’appelle toujours par son nom…
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Louve n’est pas qu’une machine à tuer, c’est aussi la partenaire sexuelle idéale du Maître. (Dommage ; juste un petit conseil : penser à décrire le déshabillement xd… Quoi que tout compte fait ce serait un peu too much… A réfléchir !). Nullement incommodé par le sang, Le Maître impose un rythme de vas et viens à sa Louve. A ce point-là, j’aurais été encore plus excité avec la description physique de la belle arme vivante. Louve est « en laisse » ce qui vient titiller mon côté sado maso x) …
« Il me caressa les cheveux comme on flatte un animal de compagnie :
« C’est bien, Louve, c’est bien. » »
Les philosophes nous parlent souvent de la femme enfant ou encore la femme objet. Eh ben on y est, là … Sans doute la suite du texte nous affranchira de ces contraintes ?... PS : Oui en fait, ça va beaucoup bouger, mais ça, il faudra le découvrir par vous-même ; )…
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Les rapports sont les suivants ;
« Le Maître » - Louve
« Le Maître » - Lilas
Lilas – Louve
On comprend que nos plaisirs sadiques et coupables seront vite assouvis quant Lila explique que Louve est nue dans la boue et le froid avec les « vrais » chiens … Mais ça ce n’est que le début. Quand on est si bas dans la hiérarchie, on ne peut plus que monter ! (ou mourir ! )…
Après il y a tout un très long passage sans scènes de sexe et heureusement eihn on souffle un peu même si ces passages sont terribles.
« Je vis tout de suite un loup, de taille modeste, au pelage noir, dans un coin de la cage. L’animal, rendu à moitié fou de rage par les cris et les aiguillons qui le blessaient inutilement, tentait de happer tout ce qui se risquait trop près de lui.
En découvrant son adversaire, je me figeai.
Non, le Maître ne pouvait pas avoir fait ça… Pourtant, c’était bel et bien la gamine dans cette cage. Nue, elle s’était reculé le plus loin possible du loup, dans l’angle opposé. De larges morsures parsemaient ses bras, ses jambes, son flanc… elle haletait malgré le froid ambiant. »
Envoyer « la gamine » se battre contre un vrai loup… Pourtant, on a aucun doute sur sa supériorité avec ses méga griffes… Les descriptions sont très bien /belles. Bien sûr à la fois déshumanisant, sexy et révoltant, « il » a envoyé « la gamine » au combat sans même un pagne. Et il fait froid, apparemment. Pauvre fille, elle est à moitié bectée par le loup…
Après une victoire féroce sur le loup, Lilas s’interroge sur le fait de comment on a pu en arriver là …
« Elle avait été baignée, ses cheveux lavés et peignés, mais elle n’était pas vêtue malgré le froid mordant. Bandages et ecchymoses couvraient son corps, mais elle dégageait désormais un mélange de brutalité et de férocité. Dangereuse comme le Maître l’avait voulue. »
Changement de dénominations ! « Louve » devient « la fillette » (du coup je m’excuse si j’ai qualifié de sexy une mineure, à ce stade de l’histoire je ne le savais pas ! ah) et « Le Maître » devient « Sokolo ». Pourquoi la fillette n’est jamais vêtue malgré le froid ? Je ne vois que deux explications : le bon plaisir du maître et le symbole ostentatoire (Yes je voulais le placer ce mot-là !!) d’une domination sans pitié d’un connard friqué…
« Louve » quelques temps plus tard, se retrouve achetée dans un chenil par un nouveau maître, plutôt beau gosse… Elle commence tout ses paragraphes par un sentiment, une émotion…
Alors que Sokolo, son nouveau maître, la fait tuer des gens (ses ennemis sans doute ? Mais cela n’est pas précisé, sans doute parce que l’histoire se focalise plus sur Louve ?) … Mais Sokolo n’était jamais satisfait malgré son excellent travail… Elle ensemble porter des habits maintenant (jambières) et Sokolo lui donne de grands coups de fouet (Dont on ne connait pas la raison mais en faut-il absolument une ?). Elle s’évanouit de douleur. Et voudrait… se libérer de toute cette souffrance ?
Lilas, une autre esclave, mais avec des fonctions différentes, sympathise avec Louve et se permet quelques faveurs pour cette pauvre esclave qui n’a rien pour elle dans sa vie…
Si ça devait être produit au cinéma je verrais bien Anya Chalotra dans le rôle de Louve.
Louve est violée ;c’est son premier rapport sexuel… Pourtant au début il m’a bien semblé en voir un ; ) … J’ai du mal comprendre ou inverser des personnages ! ; - ) ça arrive !
Toujours la même chose, le gouverneur fait se battre Louve pour se faire mousser. Mais cette fois ci, c’est contre un homme en armure. Louve devient tout de suite une autre personne quand elle a ses griffes.
Louve est « étonnante » et le maître en est de plus en plus fier. C’est son meilleur faire valoir…
Exactement comme dans « Danny the dog », le maître utilise son « chien » pour faire pression sur ses clients pour son business. J’aime beaucoup aimé ce film.
Mais que peuvent trois griffes contre un grizzli ?! …
« Alors, dans un élan de passion, j’écrasai mes lèvres sur les siennes. Un long baiser que j’aurais aimé faire durer à l’infini. Quand je la laissai enfin, je crus distinguer une lueur, un pétillement nouveau dans ses yeux. »
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« Avec l’âge, Louve était devenue vraiment très belle. Longs cheveux aile de corbeau, traits fins et patriciens, peau mate, membres souples et musclés, regard gris limpide, intense. Le Gouverneur la trouvait sans doute à son goût, vu la fréquence à laquelle il abusait d’elle. Bien malgré moi, j’assistai souvent à ces ébats obscènes qui me rendaient folle de douleur. »
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« Elle prit ma main et la posa sur son cœur. Je la regardai, et, dans ses yeux, je lus qu’elle comprenait mon refus. J’en fus bouleversée et les larmes coulèrent sur mes joues. Comme je l’aimais !
Je l’embrassai, puis attrapai sa chaîne et l’attachai au trône vide ce soir-là. »
Un peu de tendresse après tout dans ce monde de brutes !! Dites-moi si je me trompe, mais le masculin est il connoté de violence tandis que les rapports entre femmes auraient quelque chose… de plus rassurant ? de différent…
J’en ai beaucoup parlé et encore je vous ai laissé la surprise pour énormément de choses.
Bonne Lecture. Il faut lire ce Livre.
Phoenix
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